Título de la obra: Irlande.
Enviado por Ledesma • 23 de Marzo de 2018 • 2.421 Palabras (10 Páginas) • 351 Visitas
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N’oublions pas ces champs dont la poussière
Est teinte encor du sang de nos guerriers!
Nous leur devons des pleurs, une prière;
La liberté rayonne à nos foyers.
Ils sont tombés, mais de la mort des braves,
En nous léguant cet heureux avenir
Qui nivela le maître et les esclaves,
Monde nouveau qui ne doit pas finir.
N’oublions pas, etc.
Pourquoi faut-il qu’au milieu des batailles
Vienne mourir un injuste pouvoir,
Et que le deuil, les tristes funérailles,
Des affranchis soient le premier devoir?
N’oublions pas, etc.
Heureux le peuple, à ses serments fidèle,
Qui sans combats vit consacrer ses droits!
La liberté jamais ne fut si belle
Qu’en descendant du marchepied des rois.
N’oublions pas, etc.
No se olvide de estos campos cuyo polvo
Encor está manchada con la sangre de nuestros guerreros!
Se lo debemos a llorar, la oración;
Libertad irradia nuestros hogares.
Cayeron, pero la muerte de los valientes,
Nos legando este futuro feliz
Qué empataron el maestro y los esclavos,
Nuevo mundo que no debe terminar.
No olvidemos, etc.
¿Por qué es que en medio de la batalla
Viena mueren poder injusto,
Y ese dolor, triste funeral,
Ser liberado de la primera obligación?
No olvidemos, etc.
Feliz el pueblo, fieles a su juramento,
Vive sin luchar dedicar sus derechos!
La libertad nunca fue tan hermoso
Por descendente desde el paso de reyes.
No olvidemos, etc.
3. Chant guerrier, No. 3
4. La belle voyageuse, No. 4
Elle s’en va seulette; l’or brille à son bandeau;
Au bout de sa baguette etincelle un joyau.
Mais sa beauté surpasse l’éclat de ses rubis.
Et sa blancheur efface la perle au blanc de lys.
Belle, ainsi sans injure penses-tu voyager?
Ta beauté, ta parure appellent le danger.
Les mains les plus fidèles tressaillent devant l’or,
Et les coeurs près des belles tiennent bien moins encor.
Chevalier, dans cette île mon âme ne craint rien;
L’honneur en cet asile est le souverain bien.
Toujours devant nos larmes on le vit s’arrêter.
Pour mon or ou mes charmes que puis-je redouter?
Aux regards découverte, son souris virginal
Par toute l’île verte lui servit de fanal.
Aussi l’as-tu bénie, des harpes doux pays,
Celle qui se confie à l’honneur de tes fils.
Ella va seulette; El oro brilla la venda;
Después de su varita desatar una joya.
Pero su belleza supera el brillo de sus rubíes.
Y blancura borra los lirios blancos de la perla.
Hermosa y sin ofensa qué viajas?
Su belleza, su gala llamar al peligro.
Las manos más leales tiemblan ante el oro,
Y cerca de los corazones hermosos tener menos encor.
Chevalier, en esta isla que mi alma no teme a nada;
El honor en este asilo es el bien soberano.
Siempre antes de nuestras lágrimas vimos detenerse.
Para mi oro o mis encantos no temo?
La mirada descubrió su ratón virginal
Por toda la isla verde se convirtió en su linterna.
También has bendecido, dulce arpas países
El que confía en honor de su hijo.
Amis, la coupe écume!
Que son feu rallume
Un instant nos cœurs!
Du bonheur ce gage
N’est que de passage;
Noyons nos douleurs!
Oh! ne crois pas qu’à mon âme
Les tourments soient épargnés!
Mes chants, échos de ma flamme,
Seront toujours de larmes imprégnés.
Ce sourire qui rayonne
Sur mon front sombre et pensif,
Est semblable à la couronne
Dont on pare un roi captif.
Mais la coupe écume, etc.
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